mercredi 10 avril 2024

« L’Argent de la Vieille » Amanda Lear en Majesté Iconique au Théâtre Libre

Amanda Lear est de retour sur les planches parisiennes depuis début février et, de toute évidence, la Reine tour à tour de la Mode, du Disco et du Boulevard s’y trouve comme un poisson dans l’eau, elle qui s’accorde volontiers la noble mission de distraire le public en sachant le surprendre à la moindre réplique ou au détour de chacune de ses volte-face.




En choisissant avec le producteur Jean-Marc Dumontet de réaliser une nouvelle adaptation théâtrale du Film « L’Argent de la vieille » de Luigi Comencini, la comédienne, aujourd’hui si bien expérimentée, se fixait l’objectif d’emmener son équipe artistique dans une progression dramaturgique aussi intense que comique.



En s’offrant à nouveau une mise en scène de Raymond Acquaviva comme pour « Panique au Ministère » & « La Candidate » dont les auteurs Jean Franco et Guillaume Mélanie adapteraient, cette fois-ci, les dialogues cinématographiques de Rodolfo Sonego en 1972 au diapason de l’époque actuelle, la volonté de se placer à hauteur de l’attente des spectateurs serait donc entre de bonnes mains d’autant plus que Atmen Kelif & Marie Parouty endosseraient les rôles ambivalents du couple de « Pauvres » dont la comtesse allait pouvoir prendre un malin plaisir à faire perdre au jeu toutes leurs ardentes convoitises de richesse.

En outre, liée aux services paradoxaux de Georges (Olivier Pagès) l’étrange majordome à la fois subjugué par sa maîtresse bien que suspecté par celle-ci de nourrir un intérêt spéculatif sur son héritage et également servie par Anastasia, jeune domestique claudicante (Jeanne Perrin), la milliardaire aura l’audace de n’épargner aucune vexation humiliante à celle-ci de même qu’aucune réprimande méprisante à celui-là.



Ainsi les quatre faire-valoir de La Diva sont bel et bien au taquet pour déployer la folle énergie nécessaire à contrer les plans machiavéliques visant à satisfaire son bon plaisir de dilettante planétaire.

Force est d’ailleurs de constater qu’Amanda Lear n’a pas vraiment besoin d’en rajouter en démonstrations spectaculaires tant, autour d’elle, l’agitation est à son comble pour faire monter l’appât des gains escomptés comme ceux d’un enjeu existentiel à l’égard d’une telle micro-société métaphorique.



C’est, ainsi, un délice cruel que de voir apparaître à chaque étape du rapport de forces ponctuée par les musiques d’Abba (Money, money…), du Pink Floyd (Money) voire du générique de Dallas… la richissime voyageuse arborant des toilettes plus extravagantes les unes que les autres tout en venant se confronter aux délires exponentiels de ses souffre-douleurs, eux pourtant convaincus de parvenir à la « plumer jusqu’à l’os » alors que de multiples « quitte ou double » ne cesseront d’alimenter leur folle ambition de venir rivaliser avec la fortune colossale de La Vieille.

Cependant comme la « Belotte » ne serait point cette « machine à cash » systématique n’ayant que des probabilités financières vertueuses, la vieille américaine diabolique va aussi entreprendre, en marge de ces parties de cartes, de redoutables manœuvres de déstabilisation stratégique envers l'entité adverse de façon à diviser pour régner sur son monde d’obligés.



Ainsi en tentant de saper la confiance instinctive à l’intérieur du couple de miséreux (Pierrette & Jean-Luc) ainsi que celle de leur propre fille qui n’est autre que la fameuse domestique tout en fustigeant le moral laborieux du majordome, la comtesse pourrait avoir de très bonnes chances de faire tourner définitivement la victoire par un KO général en sa faveur.

Néanmoins, du côté d’Anastasia pourrait souffler la perspective de mettre fin à toute emprise maître-esclave puisque cette bonne à tout faire, ayant perçu la nature perverse du processus relationnel faussement ludique, serait parvenue à acquérir des armes personnelles pour s’extraire de ce « jeu ô combien vicié ».



Alors, bien sûr, tous les espoirs resteraient pareillement permis pour chacun des protagonistes dépités bien que cette adaptation théâtrale n’aurait d’autre prétention philosophique que « le pur divertissement » avec sa louable intention de rire et de s’esclaffer en bonne compagnie.

En l’occurrence Amanda Lear a effectivement tiré la meilleure carte, celle de pratiquer cyniquement la dérision libératrice en feignant par la méchanceté gratuite d’offusquer autrui et de narguer tout dessein éthique à grands frais… selon la manigance insidieuse du miroir auto-déformant.




L'ARGENT DE LA VIEILLE - ***. Theothea.com - de Rodolfo Sonego - adaptation Jean Franco & Mélanie Guillaume Mélanie - mise en scène Raymond Acquaviva - avec Amanda Lear, Atmen Kelif, Marie Parouty, Olivier Pagès & Jeanne Perrin - Théâtre Libre

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mardi 9 avril 2024

Amanda Lear : 14 chats, des cochons, une chèvre… mais elle ne veut pas "finir comme Brigitte Bardot"

Vendredi 5 avril 2024, Amanda Lear a accordé un entretien au magazine Marie France. Fière d’être une femme indépendante, la chanteuse de 84 ans a cependant confié qu’elle ne voulait pas finir comme… Brigitte Bardot !

Lola G pour Closer Magazine On Line ...

 Amanda Lear a exprimé son amour pour la solitude et son choix de vie sans partenaire dans une interview pour Marie France le 5 avril 2024, soulignant l'indépendance comme clé de son succès.


 Elle a partagé son bien-être en vivant seule en Provence, entourée d'animaux et de ses passions, rejetant l'idée que la solitude soit une tragédie.

 L'artiste valorise la liberté et le bonheur que procure la vie en solitaire, affirmant être plus heureuse aujourd'hui grâce à son mode de vie indépendant.

Au cours des dernières années, Amanda Lear a indiqué à de nombreuses reprises qu’elle adorait sa solitude. Vendredi 5 avril 2024, dans les colonnes du magazine Marie France, l’artiste a par ailleurs confié avoir "renoncé au couple". "Je suis tellement mieux avec ma solitude, à ne dépendre de personne, à faire ce que je veux", a-t-elle assuré, avant de glisser à propos de son indépendance : "Elle a fait ma différence, ma spontanéité, mon succès. Elle est mon moteur. J'ai forgé seule mon destin".

Au cours de cet entretien, la chanteuse a assuré qu’elle se sentait bien seule, en Provence. "Je retire mes faux cils, ma carapace à émotions, et retrouve mes animaux, ma mélancolie, une sensibilité à fleur de peau", a-t-elle fait savoir, avant de préciser : "J'espère ne pas finir comme Brigitte Bardot. Pourtant, j'ai eu jusqu'à 14 chats à la maison, deux labradors, une chèvre, des cochons... Ils ne m'ont jamais déçue, jamais menti, ont toujours été fidèles et affectueux".


Amanda Lear : "C’est formidable d’être seule !"

Samedi 27 janvier 2024, sur le plateau de 50' inside, sur TF1, la star s’était déjà exclamée : "Les gens pensent que la solitude, c’est une tragédie, mais pas du tout ! C’est formidable d’être seul !". En toute transparence, elle avait ajouté : "Vous savez, le soir, vous êtes seule, vous mangez ce que vous voulez, si vous n’avez pas faim, vous ne mangez pas… Vous regardez ce que vous voulez à la télévision, vous zappez… Vous vous habillez comme vous voulez, vous rendez de compte à personne. Il n’y a pas de : 'Qu’est-ce qu’on fait ?' ; 'Où on va ?' ; 'Qu’est-ce qu’on mange ?'".


Trouvant "insupportable" de devoir rendre des comptes, Amanda Lear avait ajouté : "Franchement, j’ai donné dans les relations de couple. Je trouve qu’être solitaire, c’est formidable. On ne s’ennuie pas ! Pourquoi les gens s’ennuient ? On ne peut pas s’ennuyer, il y a la télévision, les mots croisés, la peinture, les balades, le shopping…". Cash, elle avait même assuré être plus heureuse aujourd’hui qu’elle ne l’était il y a trente ans. "Je suis mieux dans ma tête. Je sais ce qui me va, ce qui ne me va pas, ce que j’aime, ce que je n’aime pas", avait-elle déclaré.

Amanda Lear aime sa liberté

Dimanche 18 juin 2023, dans Sept à huit, sur TF1, elle avait déjà indiqué : "Je suis très solitaire, c'est merveilleux la solitude, c'est la liberté. Être seule, c'est être libre (…) Je vis seule et je suis ravie de vivre seule. Je vis seule en Provence avec mes chats, mes oliviers, ma peinture et je suis oléicultrice".

Comblée par sa vie en Provence, Amanda Lear avait ajouté : "Je mourrai là-bas et on m'oubliera. Je pense que je finirai seule. Je ne me vois pas entourée de petits enfants, de petit-neveu, de machin, non ce n’est pas du tout mon truc. En tout cas en ce moment je m'éclate, j'ai des amis très jeunes tout autour de moi qui se marrent avec moi".

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vendredi 5 avril 2024

Confidences sur papier pour Amanda Lear

 « J’espère ne pas finir comme Brigitte Bardot » : Amanda Lear cash sur sa solitude et son célibat

  par Emilie Nougué pour Voici !

Alors qu’elle est au théâtre libre à Paris dans la pièce L’Argent de la vieille, Amanda Lear s’est confiée à Marie France. L’occasion d’aborder son célibat, la trahison de son ex-compagnon et son amour pour les animaux.

Muse de Salvador Dali, employée de Silvio Berlusconi, star de la télé en Italie, compagne de David Bowie, chanteuse, mannequin, actrice, artiste peintre… Amanda Lear a eu 1000 vies. Mais aujourd’hui, à un âge qu’elle souhaite garder mystérieux, elle aspire à plus de tranquillité et de naturel. Ainsi, dès qu’elle ne travaille pas, elle se réfugie dans son mas provençal pour se ressourcer. "Je suis seule et je suis ravie de vivre seule. Je vis seule en Provence, avec mes chats et mes oliviers, ma peinture (...) Je mourrai là-bas, voilà et après on m’oubliera", avait-elle déclaré en juin 2023 dans l'émission Sept à Huit sur TF1. ♥


En effet, après avoir connu de multiples idylles, Amanda Lear a "renoncé au couple", comme elle l’a fait savoir à Marie France. Indépendante et fière de l’être, elle a aussi été marquée par une trahison dans sa dernière histoire d’amour.


Amanda Lear préfère "ne dépendre de personne"

"Mon dernier grand amour, un magnifique Italien avec lequel j'ai vécu dix ans, m'a quittée pour une Miss Météo... Je suis tellement mieux avec ma solitude, à ne dépendre de personne, à faire ce que je veux", a-t-elle expliqué avant de parler de son indépendance : "Elle a fait ma différence, ma spontanéité, mon succès. Elle est mon moteur. J'ai forgé seule mon destin".

Quand elle est en Provence, Amanda Lear apprécie donc sa solitude et n’a aucun mal à être elle-même. "Je retire mes faux cils, ma carapace à émotions, et retrouve mes animaux, ma mélancolie, une sensibilité à fleur de peau", a-t-elle indiqué avant de préciser : "J'espère ne pas finir comme Brigitte Bardot. Pourtant, j'ai eu jusqu'à 14 chats à la maison, deux labradors, une chèvre, des cochons... Ils ne m'ont jamais déçue, jamais menti, ont toujours été fidèles et affectueux". Des adjectifs qui ne qualifiaient pas son ex-compagnon italien.

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"Il m'a quittée pour une Miss Météo” : Amanda Lear détaille sa rupture avec son "dernier grand amour"

par Elodie Poinsot pour Télé-Loisirs 

Actuellement sur scène au Théâtre Libre à Paris, Amanda Lear n'en finit plus de se réinventer. Sauf en amour, où elle confie avoir renoncé au couple. La faute à son "dernier grand amour" qui l'a quittée sans préavis.


Sur scène dans L'Argent de la vieille au Théâtre Libre dans le 10ème arrondissement de Paris jusqu'au 21 avril, Amanda Lear a accepté de répondre aux questions de nos confrères de Marie France pour leur publication de ce vendredi 5 avril. Tandis qu'elle entretient une image de femme publique forte et indépendante, l'actrice et ancienne mannequin a confié qu'elle se permettait d'être elle-même lorsqu'elle rentrait chez elle, en Provence. "Je retire mes faux cils, ma carapace à émotions, et retrouve mes animaux, ma mélancolie, une sensibilité à fleur de peau. J'espère ne pas finir comme Brigitte Bardot. Pourtant, j'ai eu jusqu'à 14 chats à la maison, deux labradors, une chèvre, des cochons... Ils ne m'ont jamais déçue, jamais menti, ont toujours été fidèles et affectueux", lance-t-elle tandis que l'on sent venir un étrange parallèle avec sa vie amoureuse.


"Il m'a quittée pour une Miss Météo" : Amanda Lear confie avoir renoncé au couple

Indépendante et fière de l'être, la comédienne revendique sa solitude : "Mon dernier grand amour, un magnifique Italien avec lequel j'ai vécu dix ans, m'a quittée pour une Miss Météo... Je suis tellement mieux avec ma solitude, à ne dépendre de personne, à faire ce que je veux. (...) J'ai renoncé au couple, pas aux sentiments. S'intéresser aux autres, c'est une façon de tomber amoureuse tous les jours !". "Elle (son indépendance, ndlr) a fait ma différence, ma spontanéité, mon succès. Elle est mon moteur. J'ai forgé seule mon destin", continue-t-elle alors.


Un douloureux passé

"Une médium m'a assurée que le feu purifiait. Tout ce qui était négatif a brûlé", enchaîne l'ancienne sociétaire des Grosses Têtes lorsqu'elle est interrogée sur le tragique incendie de son mas provençal qui avait coûté la vie à son époux Alain-Philippe Malagnac en décembre 2000. "La bâtisse reconstruite, il n'y a plus que des bonnes ondes au milieu des oliviers. Positive par nature, un peu dans le déni aussi, j'ai une faculté à éliminer ce qui pourrait provoquer gêne, tristesse, embarras. Le passé ne m'intéresse pas. Je ne garde rien, aucune photo, aucun souvenir. Je m'adapte à mon époque, en mouvement, tournée vers l'avenir", continue Amanda Lear, toujours aussi positive.

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mercredi 3 avril 2024

Des propos forts et déconcertants, Amanda Lear a tenus dans les pages de "Marie France".

 "Une médium m'a assuré que le feu purifiait" : les propos étonnants d'Amanda Lear sur la mort de son mari dans l'incendie de leur maison ...

Interrogée sur son souvenir de la tragédie qui a frappé le couple qu'elle formait avec Alain-Philippe Malagnac en 2000, Amanda Lear s'est confiée sur sa façon de surmonter l'épreuve. Des propos forts et déconcertants qu'elle a tenus dans les pages de "Marie France".

A la fois mannequin, comédienne, muse et reine du disco, Amanda Lear a multiplié les vies. A 84 ans, on peut la croiser sur scène dans L'Argent de la vieille ou dans Maison de retraite 2 au cinéma mais également dans la série Escort Boys. Rien ne semble arrêter l'artiste à la voix envoûtante. Pourtant, son parcours a connu des épreuves, de santé mais aussi humaines, comme le rappelle le magazine Marie France dans lequel elle se confie.

Alain-Philippe, Amanda Lear


Installée dans son havre de paix dans les Alpilles, Amanda Lear vit entourée d'animaux qu'elle chouchoute. Un lieu magique qui a toutefois été le théâtre d'un drame comme le rappelle Marie France : en décembre 2000, son mari Alain-Philippe Malagnac, qu'elle avait épousé à Las Vegas en 1979, est décédé dans l'incendie qui a détruit ce même mas. Une tragédie que l'actrice a surmontée et elle revient sur cette douleur avec la franchise déconcertante qu'on lui connaît : "Une médium m'a assuré que le feu purifiait. Tout ce qui était négatif a brûlé. La bâtisse reconstruite, il n'y a plus que des bonnes ondes au milieu des oliviers. Positive par nature, un peu dans le déni aussi, j'ai une faculté à éliminer ce qui pourrait provoquer gêne, tristesse, embarras. Le passé ne m'intéresse pas. Je ne garde aucune photo, aucun souvenir."

Des mots forts qui montrent le chemin qu'a choisi Amanda Lear pour parcourir la vie, quels que soient les événements qui en font partie. Elle se décrit comme une femme en mouvement et tournée vers l'avenir qui ne veut dépendre de personne.

Anthony Moon, Amanda Lear, Alain-Philippe Malagnac


Les circonstances troubles de la mort d'Alain-Philippe Malagnac, mari d'Amanda Lear

Alain-Philippe Malagnac, producteur et homme d'affaires, était aussi connu comme l'amant de l'écrivain Roger Peyrefitte, duquel il s'est inspiré pour certains de ses romans. Acculé de dettes, il avait fait une tentative de suicide dans les années 1970. Il est mort à l'âge de 49 ans et les circonstances de sa disparition demeurent floues. Dans Libération, on apprenait qu'il avait confié à Amanda Lear songer à mettre fin à ses jours de nouveau : "J'ai un stock de médicaments prêt, j'ai déjà raté un suicide ; celui-là, je ne compte pas le louper." Cependant, la thèse de l'accident reste celle qui est retenue par les enquêteurs qui affirment n'avoir trouvé aucun liquide inflammable sur les lieux.






mardi 2 avril 2024

“D’une méchanceté inouïe” : Amanda Lear balance sur Coco Chanel . . .

Au cours d’une interview pour le numéro du mois d'avril 2024 du Harper’s Bazaar, Amanda Lear se confie sur sa rencontre avec une figure emblématique de la mode française : Coco Chanel. Cette dernière aurait été "d'une méchanceté inouïe" selon l'ancien mannequin qui évoque, avec amertume, cet instant passé en compagnie de la créatrice.

par Estelle Brun pour Télé-Loisirs !


Mannequin, chanteuse, animatrice télé, actrice… Nombreuses sont les étiquettes d’Amanda Lear, qui multiplia les rencontres fascinantes au cours de sa carrière. Elle se confie au sujet des personnalités qu’elle a pu fréquenter à l’occasion d'une interview pour le Harper’s Bazaar, dans le numéro du mois d'avril 2024. L'ancien mannequin évoque à cette occasion les stars qui l'ont particulièrement marquée, dans le bon sens comme dans le mauvais sens du terme. Et il faut croire que la célèbre créatrice de mode Gabrielle Chanel, alias Coco Chanel (que l'on a pu voir récemment dans la série The New Look), a laissé un souvenir désagréable à Amanda Lear...

Quelle impression Amanda Lear a-t-elle eue sur Coco Chanel ?

Amanda Lear est une femme fantasque fréquentant des personnalités qui l’étaient tout autant, comme le peintre Salvador Dali ou le musicien David Bowie. L'artiste n’aime pas passer inaperçue et à ce titre, déteste porter du noir. Pour cette raison, elle considère la petite robe noire comme une "hérésie". Le modèle lancé en 1926 par Gabrielle Chanel a pourtant rencontré un grand succès, au point d’être surnommé "la Ford de Chanel", rappelle Marie Claire. Conquises, certaines stars d’Hollywood, comme Marilyn Monroe, vont même en faire leur tenue de prédilection... Un engouement qu'Amanda Lear est loin de partager. Elle évoque, à ce sujet, son unique rencontre avec la fondatrice de la maison Chanel. Un moment que la mannequin n’a pas particulièrement apprécié et qui s'est déroulé en compagnie du célèbre artiste surréaliste Salvador Dali. Amanda Lear se confie ainsi, à propos de Gabrielle Chanel : "C'est une hérésie, la petite robe noire ! La femme qui la porte veut passer inaperçue, ne pas déranger. Il faut déranger ! Je n'ai rencontré Chanel qu'une seule fois, au cours d'un déjeuner au Ritz avec Dali et ça m'a marquée. Elle était d'une méchanceté inouïe, critiquait tout, on ne pouvait pas en placer une."

Amanda Lear : une carrière riche en rencontres fascinantes

Mannequin et muse pour le célèbre créateur Paco Rabanne, Amanda Lear a enchaîné les rencontres de grands noms de la mode, de la musique et de l’art de façon générale. Elle a notamment fréquenté le peintre Salvador Dali pendant 15 ans et a eu une idylle avec Brian Jones, le guitariste des Rolling Stones. Elle se lance ensuite dans une carrière de chanteuse encouragée par David Bowie et sort l'album I am a photograph en 1977. Dans les années 1980, l’artiste fait prendre un virage à sa carrière en se lançant dans l’animation à la télévison. Amanda Lear est notamment invitée par Silvio Berlusconi pour son émission, dans laquelle elle a rencontré un grand succès.




Amanda Lear: “Il maschio è sempre più bello visto da dietro, specie il fondo schiena. Parola d’artista!”

 Ad una serata di beneficenza abbiamo passato una serata con la cantante, attrice, conduttrice televisiva e oramai affermata artista, un tempo musa di Dalì. "Lui era proprio il divo, l'unico che conosceva la pittura, criticava tutti, diceva spesso solo io so dipingere"

Par Pino Gagliardi


Ad una serata di beneficenza a Milano Amanda Lear, cantante, attrice, conduttrice televisiva e oramai affermata pittrice, si presenta con il quadro di un nudo maschile il cui ricavato è destinato ad alcuni importanti associazioni che operano in Africa. “Avrei voluto regalare un bell’olio su tela che raffigurava un mazzo di fiori, ma c’era il problema del trasporto perché i miei dipinti sono abbastanza grandi, e quindi ho optato per un disegno a matita che è uno studio anatomico di un corpo di un maschio nudo” ci racconta la musa di Dalì.


Una star planetaria conosciuta e osannata in tutti gli angoli del globo. Un passato da regina indiscussa della disco, attualmente un suo brano, grazie alla pubblicità di un noto profumo, dopo quasi mezzo secolo, è ritornato in vetta alle classifiche di numerosi paesi. Oggi per lei esiste solo il teatro e la pittura, quella che un tempo posava per uno dei più grandi artisti del secolo scorso, adesso chiede ad aitanti modelli di posare per lei. “Il soggetto che ho portato, e che spero che faccia incassare un po’ di quattrini a questa associazione di beneficenza, l’ho fatto di spalle perché il maschio è sempre più bello visto da dietro, specie il fondo schiena”.

Le piace dipingere corpi ?

Non faccio solo dei nudi, faccio anche delle altre cose, dei paesaggi, dei fiori. Però mi ricordo che quando studiavo alle Belle Arti a Parigi la prima cosa che mi ha veramente emozionato e colpito è che avevamo un modello che posava per delle ore fisso senza muoversi e noi dovevamo disegnarlo per imparare il corpo umano, come è fatto, i muscoli. Mi emozionavo perché vedevo un tipo completamente nudo che faceva l’oggetto. È stato il primo uomo-oggetto che ho conosciuto e da allora ho sempre detto che gli uomini bisogna finalmente trattarli come degli oggetti. Ho cominciato a disegnare un sacco di nudi e, guarda un po’, trovo molta difficoltà a trovare dei modelli mentre con le modelle non ho problema.


Magari è solo soggezione nei confronti di lei che è personaggio famoso.

Molti mi dicono mi piacerebbe tanto posare per te, salvo poi tirarsi indietro all’ultimo minuto. Mi chiedono: “Ma devo devo togliermi proprio tutto, pure le mutande?”. Io rispondo sì certo pure le mutande, devi essere nudo e allora si vergognano perché ha ragione lei, hanno paura dell’Amanda Lear non pittrice, del mio passato. Magari pensano pure “Adesso questa mi salta addosso!”.


Eppure il maschio di oggi è un esibizionista…

Basta guardare Instagram, dove sono sempre nudi, fanno vedere gli addominali. Il maschio oggi non vede l’ora di mettersi in mostra. Forse tranne che con me. Una volta non era così.

Una volta era lei a posare nuda per Dalì. Adesso è lei che chiede agli uomini di posare. 

Con Dalì era assolutamente impossibile mettersi sullo stesso piano. Lui era proprio il divo, il maestro, l’unico che conosceva la pittura, criticava tutti, diceva spesso solo io so dipingere, Picasso fa schifo, Rembrandt non era bravo e via dicendo. Quando gli ho detto “guarda che ho fatto le Belle Arti, siamo uguali, tu e io siamo colleghi”, lui mi rispose: “No guarda, lascia perdere, le donne non hanno talento, non c’è mai stata una brava donna pittrice”. Un’affermazione da machista spagnolo, questa che la donna non può essere una pittrice. Io naturalmente rispondevo e allora Frida Kahlo, Artemisia, Mary Cassatt, Leonor Fini? Lui mi rispondeva che sapevano fare solo i mazzi di fiori! Per lui la pittura vera era la Cappella Sistina di Michelangelo, ma le donne che fanno i mazzi di fiori per lui non era pittura vera. È stato molto difficile per me continuare a dipingere. Da quando lui non c’è più pian piano ho affermato una mia pittura, anche se non mi considero una grande pittrice.


Cosa direbbe Dalì oggi della sua pittura ?

Io dipingo esattamente tutto quello che lui odiava, faccio dei mazzi di fiori, uso colori accesi, adoro i fauves, adoro Pierre Bonnard, Van Gogh, insomma tutto quello che lui detestava.


Il quadro che le è venuto meglio ?

Quello che devo ancora disegnare. Salvatore Dalì mi diceva sempre: “Non puoi fare un capolavoro, il giorno che fai un capolavoro puoi anche morire subito, non si può sopravvivere a un capolavoro, è impossibile”. Lui diceva di sabotare ogni quadro, in modo da renderlo imperfetto. Forse aveva anche un po’ ragione, perché io guardo i miei quadri e non li trovo mai completamente riusciti. Non sei mai soddisfatto. Mi raccontava di un pittore, non mi ricordo più quale fosse, che andava nei musei che esponevano un suo lavoro per andarlo a ritoccare di notte perché non era ancora soddisfatto del tutto, perché un quadro, così diceva, non è mai finito.

Il suo corpo l’ha aiutata ?

Il mio corpo sì, come tutti. Quando si comincia in questo mestiere dello spettacolo, giochiamo molto sul fisico, uno si deve presentarsi benissimo, al meglio. Il fisico è molto importante se si vuole fare la cantante, ma anche nel cinema, quasi tutte le ragazze cominciano a fare foto di nudo. Quando ho iniziato io era il periodo di Playboy che metteva in mostra perfino Claudia Cardinale, cose che dovevi fare per forza. Ti abituano a giocare da subito con il nostro corpo. Mi accorgo adesso, in teatro per esempio, che è molto importante il mio corpo, non è che recito solo con la mia voce, a differenze di quando canto: in teatro è tutto il mio corpo che recita, è il tuo corpo a parlare.


Come lo ha saputo gestire, cosa fa per mantenersi in forma ?

Sono quarant’anni che sono a dieta, che non mangio. Penso che quello che manca oggi a tutte queste ragazze sia la disciplina. Io invece sono come un soldatino tedesco. Ho una disciplina di ferro, questo l’ho imparato da Marlene Dietrich. Il mio corpo, come la mia voce, sono i miei strumenti di lavoro e quindi li devo curare bene, mantenerli sempre al meglio delle possibilità. La disciplina è importante, dormire bene, bere solo acqua, non fumare, allenarsi. Il giorno che non riuscirò più, che magari sarò ingrassata e camminerò con difficoltà, non potrò più recitare.


Chi ha sedotto con il suo corpo ?

È un fatto sorprendente. Ho sempre pensato, come mai Salvador Dalì può innamorarsi di me? Uno che aveva tutte le modelle disponibili intorno, lo stesso con David Bowie, che era pazzo di me? Come mai Berlusconi ha voluto assolutamente mettermi come protagonista nelle sue reti, con tutte le altre scelte che aveva? Una cosa che ancora oggi non capisco, eppure non ero la più bella né la più brava. Secondo me è solo in parte una questione di fortuna, è anche carisma. Con Amanda Lear c’è una presenza, un carisma, una simpatia: forse è sempre stato l’insieme di tutte queste cose a farmi vincere.

È stata più preda o più cacciatrice ?

Ero cacciatrice, perché il bello nella caccia è proprio arrivare alla conquista: una volta che la bestia è morta il gioco non è più interessante. Il gioco della seduzione è molto stimolante, pensi: riuscirò o non riuscirò? Ma una volta che sei riuscito è tutto finito. Arrivata al punto non mi interessa più.


Con il canto ha smesso ?

Canto anche adesso, canto molto, ma l’industria discografica è cambiata tantissimo con l’arrivo dell’internet e di Spotify: la gente non compra più dischi, dunque tutti i cantanti adesso, comprese Madonna o Beyoncé, sono sempre sul palco, fanno i soldi andando a fare dei mega spettacoli, perché è solo lì che oramai si fanno i soldi. Una volta vendevi dei dischi, aveva un disco d’oro per un milione di copie, adesso nessuno vende un milione di copie, il business è molto cambiato, mi interessa cantare, ma non per vendere dischi.

Lei è ancora considerata la “queen della disco”.

E non solo. Quest’anno è stata veramente una grande sorpresa quando Chanel ha preso la mia Follow me per la sua pubblicità: l’ho scritta 45 anni fa, ha avuto il suo momento di gloria e poi la gente non se ne ricordava più. Adesso sentendola in quello spot, la gente immediatamente va su Shazam per vedere di chi è questa canzone e scoprono per la prima volta Amanda Lear e iniziano ad ascoltarla sulle piattaforme musicali. Oggi siamo di nuovo a vendere quel disco: sono entrata in classifica in Corea del Sud, un paese nel quale non sono nemmeno mai stata! Pensi che mi dicono che nessuno usava il termine follow me su Instagram e adesso invece è diventata un’espressione cult.


Conoscevi i gemelli di Dalì ?

Sì, i fratelli, John e Dennis Myers, entrambi sono stati miei amanti. Si trasferirono a Cadaqués in Spagna, sono diventati figli dei fiori, degli hippie, fumavano canne in continuazione. Ragazzi strani, ad un certo punto hanno voluto completamente rinunciare alla vita in società. Pensi che facevano i modelli a Londra, erano anche molto richiesti. Ad un certo punto hanno deciso di andare a vivere in una comune hippie, credo in una grotta. Preferivano vivere di niente, non so se hanno anche mendicato per strada, tipo barboni, comunque sono sempre stati dei tipi particolari. Peccato, erano così belli!


Che ricordi ha di loro ?

Occhi verdi e blu, capelli neri lunghi, fisico statuario, eccetera, li ho frequentati tantissimo. Purtroppo, come tutta questa gente che non si cura, che fuma, che si droga, mi dicono che sono invecchiati male. Forse uno è addirittura morto. Tutta quella gente di quel glorioso periodo è finita male, con la droga e tutto il resto. Io mi considero una sopravvissuta, penso di essere ancora presentabile in tv e soprattutto riconoscibile. Me lo diceva sempre Patty Brown: “Sei l’unica di tutte noi ad essere ancora riconoscibile”.

E lei come li ha conosciuti ?

Li ho conosciuti a Londra quando facevano i modelli. Nella allora famosa King’s Road dove eravamo tutte con le minigonne. Io li trovavo bellissimi. Però non sapevano che erano gemelli. La verità è che io sono uscita con uno che ogni tanto, invece di venire lui, mandava suo fratello gemello. Non mi aveva mica detto che aveva un fratello uguale, identico. L’ho scoperto dopo, perché un po’ di differenza tra i due a letto c’era. Giocavano sempre a questa cosa di far finta di essere uno, si scambiavano i ruoli. Un po’ perversa questa cosa, no?

Perché Dalì adorava i gemelli Mayer ?

Perché Salvador Dali era ossessionato da questa storia dei dioscuri, cioè della ninfa Leda che si è fatta Giove che l’ha messa incinta e ha dato alla luce i gemelli Castore, il dominatore di cavalli e Polluce il pugile. Per Dalì i gemelli Mayer rappresentavano proprio i figli di Zeus, erano i suoi personali dioscuri. Ha cominciato a portarseli dietro sempre, poverini stavano sempre zitti perché non capivano lo spagnolo e parlavano solo inglese. Ma erano tanto belli a vedersi.


Ma è vero che Dali li “offriva”, per così dire ?

Assolutamente no. Dalì era molto esibizionista, provocatore, gli piaceva farsi vedere con bella gente. Era tutto apparenza, gli piaceva solo farsi vedere circondato da modelle, modelli, da belle ragazze, bei ragazzi e da fotografi. Ma non c’era veramente niente di sessuale. La gente si immagina delle cose incredibili su Salvador Dali: ma poverino era impotente e con i denti marci!

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Le portrait . . . Amanda Lear, pas demain la vieille

 Le portrait . . . Amanda Lear, pas demain la vieille . . .

L’ex-muse de Dalí et Bowie, revenue de sa retraite, cartonne au théâtre et a pris ses dispositions pour sa fin de vie...


On l’avait quittée fatiguée, au bord du surmenage et jurant qu’elle voulait désormais vivre loin du monde, chez elle en Provence avec ses pinceaux (elle peint) et ses «onze chats». C’était en juin 2017 et Amanda Lear – dont nous n’avions pas réussi à connaître l’âge exact, un secret mieux gardé que les codes de la valise nucléaire – nous jurait qu’elle n’aspirait qu’à prendre sa retraite. On la retrouve en 2024 plus pimpante que jamais et des projets plein l’agenda. Amanda Lear était ce début d’année à l’affiche d’un film comique avec Kev Adams (Maison de retraite 2, qu’on n’est pas allé voir, on reste Libé) mais surtout d’une pièce de boulevard qui cartonne, l’Argent de la vieille, adaptée d’un film de Luigi Comencini de 1972, objectivement drôle et tout à fait immorale (on y rit des pauvres parce qu’ils sont pauvres). Lear y est assez géniale en méchante ultrariche et ultrafringuée, sortant des saloperies avec une jouissance visible. Le public – de tous les âges – en redemande. «Mais j’attends toujours que Rachida Dati vienne, puisqu’il paraît qu’elle est ministre de la culture ! par Guillaume Lecaplain ...


Son âge est un secret bien gardé. Il n'empêche que les années passent et qu'Amanda Lear vieillit. La comédienne, qui est actuellement sur scène avec la pièce L'argent de la vieille, s'est confiée sur sa vie de vie à nos confrères de Libération. Si l'ex de David Bowie assure qu'elle ne "pense pas tant que ça" à la mort, elle se sent tout de même concernée par cette question, puisqu'elle est membre de l'association pour le droit de mourir dans le dignité. L'intéressée, qui estime pour sa part être à "l'automne de sa vie", reproche d'ailleurs au président de la République "de ne pas toujours avoir respecté sa promesse de légaliser l'aide à mourir."


Si certains préfèrent ne pas penser à leur départ, le sujet de la fin de vie demeurant très sensible, Amanda Lear, elle, a déjà pris ses dispositions pour mourir comme elle l'entend. "J’ai une adresse à Zurich, si je ne peux pas le faire en France», pose-t-elle", révèle celle qui a récemment été opérée du coeur, dans les pages de Libération, ce mardi 2 avril 2024.


"Si je ne peux pas le faire en France…" : Amanda Lear confie avoir pris ses dispositions concernant sa fin de vie

Article de Antoine Bel Bahar •


Actuellement à l’affiche d’une nouvelle pièce de théâtre intitulée L’argent de la vieille, Amanda Lear s’est confiée auprès de Libération. Au cours de cet entretien, l'ex-muse de Dalí et Bowie a notamment évoqué sa fin de vie.

Son excentricité et son humour ont fait d’elle l’une des personnalités préférées des Français. Depuis plusieurs années, c’est sur les planches qu’Amanda Lear s’épanouie. L'ex-muse de Dalí et Bowie est actuellement à l’affiche d’une nouvelle pièce de boulevard qui cartonne, baptisée L'argent de la vieille. Elle y incarne une milliardaire qui met sa fortune en jeu à chaque étape de ses voyages en organisant une partie de cartes.


"Je joue une espèce de Liliane Bettencourt qu'on essaie d'exploiter mais, la différence, c'est qu'elle est très manipulatrice. Au-delà du vaudeville, c'est aussi un sujet grave entre riches et pauvres", a-telle expliqué au Figaro. "Le théâtre est une discipline. C'est ma thérapie. Ça me fait du bien mais je ne peux plus jouer les séductrices, il faut être raisonnable. Je rêvais de jouer une femme antipathique et, là, tous les personnages sont affreux, sales et méchants", a-t-elle continué.

Amanda Lear se confie sur la mort

Interrogée par Libération, mardi 2 avril, Amanda Lear a évoqué le sujet de la fin de vie. Bien qu’elle ne "pense pas tant que ça" à la mort et qu’elle estime être à "l'automne de sa vie", la comédienne a tout de même pris ses dispositions pour pouvoir partir de la manière dont elle le désire. "J’ai une adresse à Zurich, si je ne peux pas le faire en France", a-t-elle avoué. Elle reproche par ailleurs au président de la République "de ne pas toujours avoir respecté sa promesse de légaliser l'aide à mourir".

Au cours d’un entretien accordé à Paris Match, Amanda Lear avait parlé sans tabou de son rapport à l’âge. "J'ai toujours accepté de vieillir ! Je ne passe pas mon temps à me faire lifter. Tout le monde sait que je suis aujourd'hui une dame âgée et ça ne me pose aucun problème", avait expliqué celle qui n’a jamais voulu révéler sa date de naissance. Des confidences sans langue de bois.

mercredi 27 mars 2024

Quelle époque ! : Amanda Lear fait des révélations sur sa relation avec David Bowie

Quelle époque ! : Amanda Lear fait des révélations sur sa relation avec David Bowie

Le 16 mars dernier, Amanda Lear était la grande invitée de Léa Salamé dans Quelle époque ! sur France 2. Pendant l’émission, l’artiste de 84 ans est revenue sur son idylle avec David Bowie.  

Comme chaque samedi soir, Léa Salamé reçoit de nouvelles personnalités sur le plateau de son émission Quelle époque !, diffusée sur France 2. Le 16 mars dernier, l’animatrice était ravie d’accueillir Amanda Lear, venue pour faire la promotion de son dernier projet. La comédienne et chanteuse de 84 ans incarne, depuis le début du mois de février, le rôle de Bette Davis dans la pièce L’argent de la vieille. On pourra la retrouver plusieurs soirées au Théâtre libre de Paris jusqu'au 5 mai prochain. Avec un tel emploi du temps, Amanda Lear avait de quoi dire dans Quelle époque !. Mais Léa Salamé ne s’est pas arrêtée à sa carrière. Elle n’a pas hésité à poser des questions plutôt indiscrètes sur ses anciens amours. 


C’est ainsi qu’Amanda Lear s’est retrouvée à parler de David Bowie, avec qui elle a eu une histoire d’amour sensationnelle dans les années 1970. À l’époque, le célèbre chanteur britannique était tombé sous le charme de la belle blonde alors qu’il avait déjà une femme. En effet, il était marié à Angela Barnett. Cette situation n’a pas empêché les deux artistes de se voir. “C’est très passionnel. Disons qu’au début, c’était une attraction physique, sexuelle, etc. Après, ça devient de la tendresse”, a avoué Amanda Lear, face à Léa Salamé. 

LÉA SALAMÉ, UN BRIN CURIEUSE !

Léa Salamé n’avait pas encore dit son dernier mot et a surenchéri pour en savoir plus. “Sexuelle ? Excusez-moi de vous le dire, mais, moi, c’est mon chanteur préféré de tous les temps. J’étais amoureuse de lui quand j’avais 15 ans”, a-t-elle lancé, avant d’ajouter : “Je me suis toujours dit : ‘Est-ce que, sexuellement, Bowie… Est-ce que c’était un bon amant ?’” Également présent sur le plateau de Quelle époque !, Jean-Paul Gaultier a lâché : “Tout le monde meurt d’envie de le savoir !” Assez gênée, Amanda Lear a fini par conclure : “Il était mieux maquillé.” Voilà qui est dit !

"Je ne savais pas où regarder !" : Amanda Lear évoque le tournage d’Escort Boys dans C à vous

 "Je ne savais pas où regarder !" : Amanda Lear évoque le tournage d’Escort Boys dans C à vous

Invitée sur le plateau de C à vous, ce mercredi 17 janvier, pour présenter la nouvelle pièce de théâtre dont elle est à l’affiche, la comédienne est revenue sur son apparition dans la série Escort Boys. L’actrice s’est inquiétée quand l’équipe lui a annoncé qu’un extrait allait être diffusé sur le plateau…

L’inimitable Amanda Lear fait une apparition dans la série sulfureuse Escort Boys, diffusée sur Prime Video. Ce mercredi 17 janvier, elle était sur le plateau de C à vous afin de présenter la nouvelle pièce dont elle est à l’affiche, L’argent de la vieille, dans laquelle elle jouera à partir du 1er février au Théâtre libre de Paris. Au programme de la comédie italienne ? De l’argent, du cynisme et du rire. Une recette qui promet, à l’instar de la série à l’intrigue originale qui cartonne sur Prime Video, dans laquelle on peut voir une Amanda Lear en femme fatale, qui initie l’un des héros à l’art de “satisfaire une femme”. Tout un programme.


Sur le plateau, l’actrice de 84 ans a montré qu’elle n’avait rien perdu de son franc-parler habituel. Dans un échange jubilatoire, Amanda Lear est revenue sur le tournage de la série consacrée à l’escorting masculin, confessant avoir beaucoup apprécié jouer dans une série qui inverse les rôles, à savoir être une femme décisionnaire avec des hommes à sa disposition. Alors que le chroniqueur Mohamed Bouhafsi s’apprêtait à lancer un extrait de la scène où l’actrice apparaît très dénudée, celle-ci a pris peur. “Non mais il est à poil, vous ne pouvez pas montrer ça !” s’est-elle exclamée à brûle-pourpoint sur le plateau. Ce à quoi le chroniqueur a vite renchéri : “On a trouvé une solution, on va cacher”, se voulant rassurant. À la diffusion de l’extrait, l’actrice a évoqué le tournage pas toujours facile d’une telle série : “Il y a des scènes assez osées, il était tout nu dans la scène, moi je ne savais pas où regarder !” a-t-elle confessé en riant.

APRÈS LA SÉRIE, LE DOCUMENTAIRE

La série, largement saluée par la critique pour ses superbes décors de Camargue et son casting qui fonctionne, a d’ailleurs inspiré un documentaire, disponible sur Prime Video. Ici, pas de Guillaume Labbé ni de Simon Ehrlacher, mais plutôt un recueil de témoignages d’hommes qui vendent des prestations sexuelles à des femmes. Baptisé Escort Boys : Ceux que veulent les femmes, le programme vient accompagner la série française sortie le 22 décembre dernier sur la plateforme. Dans le documentaire, professionnels et clientes témoignent, expliquant leurs motivations et leurs ressentis. Chacun a un parcours différent et une manière personnelle d’expérimenter ce métier.

lundi 25 mars 2024

"C'est inespéré pour ces chanteurs..." : Amanda Lear refuse de faire la tournée "Stars 80"

 Icône intemporelle, Amanda Lear est à l'affiche de la pièce de théâtre "L'argent de la vieille". Invitée sur RFM pour évoquer ses projets, l'artiste et chanteuse explique sans langue de bois pourquoi elle refuse de participer à la tournée "Stars 80".

Pour son retour au théâtre, Amanda Lear campe une comtesse richissime et acariâtre dans "L'argent de la vieille", une pièce adaptée de la comédie italienne Luigi Comencini où « tous les coups sont permis ». Aussi drôle que cynique, le spectacle rencontre un franc succès en billetterie depuis février et se joue jusqu'au 21 avril au Théâtre Libre, à Paris. Invitée de Bernard Montiel dans l'émission "Une heure avec..." dimanche sur RFM, l'iconique comédienne s'est vue qualifiée de "reine du boulevard", un terme qui l'amuse beaucoup. « C'est très curieux, ça fait des années qu'en France on cherche la fameuse "reine du boulevard", comme on a la nostalgie des Jacqueline Maillan, des Micheline Dax, des Maria Pacôme, qui ne sont plus là aujourd'hui. On cherche tout le temps "la nouvelle reine du boulevard" alors un coup c'est Chantal Ladesou, un coup c'est Isabelle Mergault... Mais c'est vrai qu'on cherche ce genre d'actrice sur laquelle on peut bâtir une pièce. Et moi j'ai de la chance d'avoir des auteurs qui travaillent pour moi complètement, qui me connaissent bien, écrivent mes vannes. C'est un gros avantage » sourit l'actrice, peintre, ancienne muse de Dali mais aussi chanteuse, dont la voix inimitable résonne sur les chaînes de télévision depuis des mois grâce à la publicité du parfum Coco Mademoiselle de Chanel.

"Un problème d'ego"

On l'oublie souvent Amanda Lear possède un répertoire musical faste comprenant 21 albums dont le cultissime "Sweet Revenge" (1978) et des collaborations de prestige avec Giorgio Moroder ou David Bowie, avec lequel elle a enregistré une chanson jamais sortie. « Je sais que mon métier, mon rôle sur cette planète, c'est de divertir les gens. Je donne aux gens ce qu'ils ont envie » glisse-t-elle avec le sourire sur RFM. Avec le succès qu'elle a rencontré en France, en Italie ou au Japon, la légende du disco aurait toute sa place sur la tournée "Stars 80", qui sillonne actuellement les plus grands Zénith de France. Seulement, elle a dit non ! « C'est très fatigant » reconnaît Amanda Lear, qui a été opérée du coeur début 2022.


La star explique que les producteurs sont venus la chercher à l'époque lorsqu'ils voulaient décliner le concept en Italie, où elle jouit d'une grande renommée. « C'est curieux, comme ça a eu un énorme succès en France, ils voulaient aussi le faire en Italie. Donc ils me l'avaient proposé ! Mais en Italie, il y a eu un problème d'ego, c'est-à-dire que tous ces chanteurs des années 80 disaient "ah non, moi, je suis plus célèbre que toi", "moi, j'ai vendu plus de disques alors je devrais terminer la première partie"... C'est un peu compliqué » raconte sans détour l'icône, qui se garde bien de citer des noms. « Je dois dire que c'est inespéré pour tous ces chanteurs ! » raille-t-elle au passage.

"Je suis une solitaire avec mes chats"


Il y a dix ans, l'artiste, dont le véritable âge reste un mystère, avait déjà exprimé son refus catégorique de prendre part à ces tournées nostalgiques. « Je ne reprendrai pas mes vieux tubes remixés ou ceux des autres. Et pourquoi pas la tournée des morts "Âge tendre et gueule de bois" ! Ce serait un constat d'échec » cinglait-elle, indiquant préférer « faire un duo avec Chris Brown et Snoop Dogg que de chanter avec Nicoletta ». Elle explique aujourd'hui ne pas vouloir vivre dans le passé : « Moi je ne suis pas nostalgique. Ça ne sert à rien de regarder en arrière ». D'ailleurs, Amanda Lear se décrit comme « un personnage très solitaire ». La vie de colonie de vacances ? Très peu pour elle ! « Je suis une solitaire avec mes chats, ma peinture, mes oliviers. Les gens ne s'en doutent pas car ils me voient toujours comme une joyeuse rigolote qui prend la vie du bon côté. J'aime la solitude » conclut-elle. Le message est passé !

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